40%
En savoir plusdes déplacements des Bruxellois réalisés au sein de la RBC sont effectués à pied (OVG 6, 2022).
40'
sur 100 minutes de déplacement interne à la RBC des Bruxellois se font en marchant (OVG6, 2022).
17%
de la distance totale des déplacements internes des Bruxellois se font à pied (OVG 6, 2022).
85%
des déplacements de moins de 1 km se font à pied par les Bruxellois (OVG 6, 2022).
42%
des déplacements entre 1km et 2 km se font a pied par les Bruxellois (OVG 6, 2022).
51%
des déplacements internes réalisés par les Bruxellois sont inférieurs à 2 km (OVG 6, 2022).
52,8%
des Bruxellois marchent pour se déplacer d'un endroit à un autre au moins 30 minutes au cours d'une journée habituelle (Sciensano, 2018).
6
Satisfaction p/r la marche: 6 sur 10.
(N : 1.736)🧮
En savoir plusComptage des piétons
Hub.brussels propose "Open Data", sa plateforme de visualisation et d’analyse de données dans laquelle les flux des piétons de la Région de Bruxelles-Capitale peuvent être consultés.
36,5%
des élèves de l'enseignement fondamental se rend à l'école à pied (2022).
18,9%
des élèves de l'enseignement primaire ordinaire se rend à l'école à pied (2022).
6,3%
du personnel scolaire se rend à l'école à pied (2022).
Part modale de la marche des Bruxellois pour les déplacements internes
Part modale des déplacements interne à pied (mode principal), par quartier
6,0
En savoir plusSatisfaction p/r la marche: 6 sur 10.
(N: 1.736)
Les piétons
Pour le mode piéton, les points forts sont le temps de parcours et l’impact sur la santé.
Les points faibles sont la conception et l’état des trottoirs ainsi que le sentiment de sécurité la nuit.
Les faiblesses infrastructurelles sont plus marquées pour les personnes porteuses d'un handicap, tandis que le sentiment de sécurité la nuit est plus marqué chez les femmes.
Par rapport à 2011, la satisfaction semble en progression.
Publication
📓
En savoir plusFocus sur les piétons dans le Plan Good Move
La marche est notre mode de déplacement primaire, la « cellule souche » de la mobilité humaine. Elle a pourtant – en partie sans doute parce qu’elle apparait trop évidente – longtemps été négligée dans les politiques de mobilité de l’après-guerre, et ce, jusqu’au début des années 2010.